Géographe à la limite |
L’île continent ou l’archipel ? |
Plan |
I – L’immensité et le cloisonnement1-1 Démesure1-1-1 Figures de l’immensité La rhétorique de l’immensité Des kilomètres pour dire l’immensité Les temps pour se déplacer 1-1-2 Le maintien d’une nature sauvage… « ou déclassée » - Levi Strauss Marqueterie bioclimatique Une nature sauvage ? 1-2 Cloisonnement1-2-1 « L’allongement du nord au sud » (Gottman) 1-2-2 Effet de l’organisation méridienne Un espace segmenté selon des transects Est-Ouest. Les barrières les plus impérieuses ne sont pas celle que l’on croit II - Organisation précolombienne : archipel communicant2-1 Les hommes en infériorité numérique2-1-1 Une poignée d’hommes pris dans la nasse La jeunesse du peuplement Une poignée de captifs 2-1-2 Les contrastes de densité Les grands empires peuvent concentrer de la population Mais les grands vides n’existent pas 2-2 Les organisations pan continentales (ex : Empire Inca)2-2-1 Le primat du local La communauté est au centre La force des chefferies engage la création de formation à caractère étatique 2-2-2 Les relations dans l’empire Les échanges : horizontaux et verticaux La faiblesse de l’Empire Inca 2-2-3 Limite de ses relations III – Des Empires coloniaux aux États-nations3-1 Géopolitique d’un monde dominé3-1-1 Une question en débat : la rupture coloniale ? Continuité : les colonisateurs se lovent dans les structures précolombiennes de contrôle de l’espace. Les ruptures 3-1-2 Les grands empires coloniaux Établissement des empires et processus de scissiparité La construction du vide central L’immensité réinventée 3-2 Les États-nations3-2-1 Un phénomène précoce Les structures à caractère nationale sont héritées de la colonisation Comment créer du national à partir d’un matériel commun (pan-américain) ? 3-2-2 Mise en abîme …. les territoires nationaux : Une mise en scène de l’immensité : la figure de l’île ou du môle Le centre et la périphérie ConclusionLe tableau n’est pas complet : quid de l’intégration ? Une continuité historique américaine |